La rumeur dit que je suis un romantique déjanté bientôt reconnu d'utilité "public" !
En attendant, je prends le thé avec Charles Trenet et on pianote à demain...
Un piano à queue et le talent d'Olivier Belle font le reste. Front dégarni, sourire franc, le chanteur a des airs de l'acteur Roberto Benigni, surtout dans les mimiques, tour à tour clownesques et mélancoliques. Loin de la performance vocale, Olivier Belle veut d'abord faire passer de l'émotion au public. Dès les premiers sauts de puce de ses doigts sur le clavier, les pieds et les mains des spectateurs s'agitent pour battre la mesure. Les plus complices connaissent les paroles, tentent de suivre la cadence et les inflexions de voix improbables de ce chanteur farceur. Ses facéties et ses clins d'oeil déclenchent les éclats de rire dans la salle. Mais l'artiste ne fait pas que du « rigolo ». Il sait toucher son public par des mélodies douces et des poèmes d'amour. Amour perdu, amour impossible, amour lointain... Des mots simples qui touchent.
« Olivier Belle au Sentier des Halles ». Dans cette salle en sous-sol bondée, il a prouvé que la scène n'avait pas de secret pour lui. Il faut dire qu'Olivier a fait l'école des cabarets : L'Echelle de Jacob, l'Ecluse... Personnage attachant, passant de l'exubérance et de l'humour (chantant un couplet d'une de ses chansons en japonais...) à la poésie sombre, toujours très à l'aise et très complice avec le public.
Olivier... une « Belle » surprise
Aérien, lunaire, grave ou clownesque selon les chansons, il sait à merveille passer d'un registre à l'autre. Une histoire de famille qui débute avec la passion pour le piano d'une maman concertiste... Une voix, un piano, une plume intimiste et émouvante et surtout une formidable envie de partager avec la salle son plaisir. Il vous embarque avec bonheur dans son univers.
Olivier Belle, il faut le voir pour l'écouter, l'écouter pour l'aimer.
Olivier Belle est un personnage très attachant, d'une grande humilité. Dans la plus grande simplicité, il vous fait passer d'un extrême à l'autre dans la gamme des sentiments, un instant c'est un clown qui chante en japonais, l'instant d'après, il vous fait explorer les tréfonds de son côté plus sombre... Olivier Belle est très comédien, mais derrière ses faux airs de Roberto Benigni grimaçant et enthousiaste, il semblerait qu'il y ait une authenticité poignante et une grande fragilité.
Festival de la Chanson Française à Hyères
Olivier Belle : première au "Limo" - Cet homme est un oiseau, c'est sûr. Il sait poser son chant sur nos têtes, il sait où est le rire, où est le sensible. Il connaît son piano, le fait s'envoler et ses propos nous gagnent : à découvrir.
Christian PACCOUD "Le Limonaire"

Aérien, lunaire, grave ou clownesque selon les chansons, d'un registre à l'autre.
Une histoire de famille qui débute avec la passion pour lepiano d'une maman concertiste, une soeur chanteuse...
Une voix, un piano, une plume intimiste et émouvante et surtout une formidable envie de partager avec la salle son plaisir.
Du sourire, de l'émotion et de la "Belle" chanson avec un Olivier qui est plus "Belle" que jamais.
I l est des spectacles où l’on assiste à ces « fameuses » premières parties, réalisées par des artistes dont on ne sait souvent que très peu de choses mais qui, sans qu’on s’y attende, vous embarquent avec bonheur dans leur univers. C’est l’une de ces soirées que l’Office Municipal de la Culture de Fort-Mahon a proposée au Vox dernièrement en accueillant Olivier Belle en première partie de Marie-Paule Belle.
Disons-le une fois pour toutes : Olivier Belle n’est autre que le frère de l’interprète de « je ne suis pas parisienne ». Seulement le garçon a suffisamment de talent et d’originalité pour se faire une place bien à lui dans le paysage musical français. Aérien, lunaire, grave ou clownesque selon les chansons, il sait à merveille passer d’un registre à l’autre. Une histoire de famille qui débute avec la passion pour le piano d’une maman concertiste…
Parcours classique de cours de chant, en galères professionnelles, il alterne ensuite les séances au cours Florent, dirigé par Francis Huster et décroche des figurations à la télévision, des petits rôles au cinéma et complète le tout avec un emploi de disquaire à l’Olympia. Là, il est au contact chaque soir, des artistes et apprend le métier… Puis il devient assistant de régie sur les tournées de sa sœur. À bonne école, il y apprend la scène, la rigueur, la difficulté d’un métier « pour lequel on se doit d’être très professionnel pour être à la hauteur du public » explique-t-il. Parallèlement, Olivier écrit « sur les coins de tables de cafés Quai de la Seine. Des bouts de chansons rédigés entre deux auditions ». En 1996, il monte son tour de chant. Depuis, le chanteur est très régulièrement dans le Nord, le Pas-de-Calais, la Belgique, la Suisse. Une voix, un piano, une plume intimiste et émouvante et, surtout, une formidable envie de partager avec la salle son plaisir. Olivier est ravi de son passage dans la station : « C’était la première fois que je faisais la première partie de ma sœur et je dois ce grand plaisir à Pierre Roussel. Le public for-mahonnais a été identique à celui que je rencontre dans le Nord : un accueil familial par des gens vrais qui vous disent des mots gentils parce qu’ils les pensent vraiment. Je me sens chez moi dans cette région ». Olivier, il faut le voir pour l’écouter, l’écouter pour l’aimer…
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